Hier, alors que j’interpellais le Garde des Sceaux sur l’irresponsabilité pénale prononcée par la justice dans l’affaire Sarah Halimi, je regrette et je dénonce le fait que le président de l’Assemblée nationale ne m’ait pas laissé terminer ma question : « Pouvez-vous, devant la représentation nationale qui s’incline devant la mémoire de Sarah Halimi, prononcer ces trois mots : 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐜̧𝐚 ? »